Plus de 3000 fausses chenilles en pâte à modeler ont déjà été déposées dans des arbres pour y déceler des traces laissées par les prédateurs des chenilles.
Cette technique, en apparence simple, va permettre de mieux comprendre comment la biodiversité des plantes urbaines influe sur la présence de prédateurs qui contrôlent les insectes nuisibles.
Les observations des élèves ont été envoyées aux scientifiques qui étudient les effets du climat sur les défenses des arbres.
Adapté aux écoles, ce projet est tout à fait en mesure d'intéresser des classes de 6ème .
Appel aux écoles pour un projet de sciences participatives
Le projet de science participative "Qui protège les chênes" est reconduit en 2019.
Plus de 3000 fausses chenilles en pâte à modeler ont déjà été déposées dans des arbres pour y déceler des traces laissées par les prédateurs des chenilles.
Cette technique, en apparence simple, va permettre de mieux comprendre comment la biodiversité des plantes urbaines influe sur la présence de prédateurs qui contrôlent les insectes nuisibles.
Les observations des élèves ont été envoyées aux scientifiques qui étudient les effets du climat sur les défenses des arbres.
Adapté aux écoles, ce projet est tout à fait en mesure d’intéresser des classes de 6ème .